Il représente environ 1200 décès par an.
Son diagnostic est un peu plus précoce que d’autres cancers gynécologiques en raison de l'apparition de signes cliniques comme les saignements chez la patiente ménopausée, des pertes vaginales malodorantes, des douleurs pelviennes, une perte de poids inexpliquée…
Le diagnostic est assuré par la réalisation d'un prélèvement en consultation ou au bloc opératoire lors d'une hystéroscopie.
Les examens radiologiques ( échographie, scanner et IRM) permettent de connaître le degré d'extension de la maladie.
Le traitement repose sur la chirurgie (voie vaginale, coelioscopique ou ouverte par laparotomie) souvent associée à la radiothérapie et les traitements systémiques (chimiothérapie, hormonothérapie).
L'acte chirurgical réalisé éventuellement avec d'autres confrères va consister en l’ablation des organes génitaux (utérus, trompes et ovaires), de certains organes digestifs epiploon…) et des ganglions pelviens.
La haute technicité de notre plateau permet de proposer le plus souvent une chirurgie par cœlioscopie qui a l'avantage d'une récupération rapide